Comprendre les minéraux

Les pierres utilisées dans mes créations sont réputées posséder des vertus favorables au bien-être.

Comment-est-ce possible ? Voici quelques éléments de compréhension, extraits d’une très abondante littérature sur le sujet.

Depuis toujours, l’homme s’intéresse aux minéraux précieux ou semi-précieux. Leur beauté est leur tout premier atout : la Nature crée partout des choses merveilleuses, c’est là un fait incontestable, et les minéraux précieux, semi-précieux ou communs, y occupent une place de choix. En fait, ils sont partout, et nous vivons depuis toujours dans un monde presque entièrement minéral !

Au fil des siècles, l’humanité a pu déceler que cela ne s’arrête pourtant pas tout à fait là : ces pierres interagissent avec l’environnement, et semblent également avoir des effets sur le vivant. Un savoir empirique et très ancien s’est donc progressivement construit. Force est de constater que, quelles que soient les sociétés qui ont contribué à ce travail, un certain nombre de points communs ont été mis en évidence alors que certaines civilisations ne se sont, pour autant que l’on sache, jamais rencontrées !

Tout cela remonte à des époques où le seul outil de mesure disponible était le “ressenti”, la façon dont les minéraux se manifestent ne pouvant le plus souvent pas être perçue simplement par nos cinq sens.

Progressivement, le terme “énergie” a été employé pour désigner ces interactions particulières, que les humains ressentent avec plus ou moins de force selon leur sensibilité propre, mais aussi, et cela semble déjà bien plus étonnant, nos enfants, nos animaux domestiques, et les végétaux.

La science s’est intéressée à ces phénomènes, ne serait-ce que pour faire la part entre ce qui est objectivement mesurable et ce qui relève de la légende, de la magie, voire du charlatanisme.

Et là, la surprise fut assez grande de constater que les minéraux ne sont pas exactement des objets inertes et sans autre intérêt éventuel que leur beauté. Ainsi, des phénomènes de transmission de chaleur, de lumière, ou de charges dites “piézo-électriques” ont pu être constatés et mesurés. De même, si très peu de pierres libèrent une forme d’énergie – parfois toxique -, la plupart d’entre-elles semblent plutôt fonctionner comme des sortes “d’éponges”, douées de la capacité d’absorber quelque chose dont elles pourraient ensuite être “lavées”, “purifiées” ou “rechargées” pour leur restituer leur capacité initiale.

La plupart du temps, ces manifestations sont extrêmement ténues mais elles ne sont pourtant pas inexistantes. Elles sont mêmes parfois bien visibles, comme ces cristaux de roche transparents qui tendent à jaunir avec le temps mais récupèrent leur merveilleuse transparence après une ou deux nuits à la pleine lune… Sans que l’on sache quoi que ce soit sur ce mécanisme-là !

Si la science moderne a donc bien levé un peu le voile de mystère qui entoure ces manifestation, elle n’a encore, à ce jour, aucune explication satisfaisante sur l’échelle et la finalité de leurs effets.

La part du rêve est, finalement, encore très présente, et c’est déjà en soi une grande qualité ; peu d’objets produits par Mère Nature suscitent, en effet, un intérêt aussi fort et communément répandu.

La médecine propose une autre explication, qu’elle a baptisé “effet placebo”. En gros, il suffirait de croire dans les vertus des minéraux pour que notre cerveau, et par voie de conséquence notre corps, se comporte afin que ces effets présumés deviennent une réalité : “je guéris réellement car je crois que ce beau cristal va contribuer à ma guérison”.

L’effet Placebo est scientifiquement établi, connu et mesuré.

Dans cette histoire, on commence à être étonné quand on observe que les effets supposés des minéraux fonctionnent aussi sur de très jeunes enfants ou des animaux domestiques. Dans ce cas, le mécanisme d’action devient extrêmement indirect : ce serait par exemple l’amour parental ou la relation particulière qui existe entre un animal et son maître qui servirait de véhicule favorable au processus de guérison, ou, à minima, au “confort” de l’être aimé. Ce “confort” rassurerait et aurait finalement une action bénéfique pratiquement équivalente. Là-dessus la science n’a pas davantage d’explication à proposer et l’effet Placebo montre là une limite qui semble infranchissable.

On le voit bien : si les pierres ne guérissent pas, ou pas forcément, elles participent à une sensation de bien-être qui, elle, est bénéfique pour l’organisme.

C’est sur cette dimension que nous travaillons, en respectant les grands principes de la Lithothérapie qui a répertorié et codifié un certain nombre d’effets sur le vivant, appelés “vertus”.

Nous partons donc du principe que les vertus des minéraux peuvent se diffuser dans l’environnement domestique, et, par voie de conséquence, agir de manière bénéfique sur les personnes qui y résident.

Ca, c’est leur côté magique, et comme, de plus, ils sont beaux, alors les minéraux sont définitivement nos amis !